A Propos de moi
Découvrez à travers ce site, notre élevage familial de sacrés de Birmanie situé dans la région de Namur en Belgique. Amoureuse de ces chats exceptionnels depuis plus de 10 ans, je partage ici ma passion et mon expérience d'éleveuse.
La légende du sacré de Birmanie
Un chat entouré de mystère
La légende qui entoure ce chat sacré de mystère provient de Birmanie: Un Temple Khmer protégé par les montagnes embrumées de Lugh, au nord-est, un moine empreint de sagesse, le vénérable Kittah Mun-Ha, adorateur d’une déesse aux yeux de Saphir, et de son fidèle compagnon, Sinh, son chat-oracle.
Tout n’était pas sagesse en ces temps reculés: venus de la proche frontière, des pillards mirent fin à la vie du Vénérable, sous les yeux de ses disciples et de son chat. Ce dernier, d’un bond, se coucha sur la tête de son maître: ses poils hérissés prirent la couleur de la déesse: blanc doré, et celle de ses yeux, immenses et profonds. Le bout de ses pattes, qui touchaient le crâne du Vénérable, devinrent du blanc le plus pur.
Après avoir refusé de manger durant sept jours, de tristesse il rejoint son maître. Le lendemain, les cent autres chats du monastère avaient pris la même apparence: robe d’or, gants blancs et yeux saphir. Ils entourèrent alors un jeune moine qui devint le successeur de Mun-Ha.
Tout n’était pas sagesse en ces temps reculés: venus de la proche frontière, des pillards mirent fin à la vie du Vénérable, sous les yeux de ses disciples et de son chat. Ce dernier, d’un bond, se coucha sur la tête de son maître: ses poils hérissés prirent la couleur de la déesse: blanc doré, et celle de ses yeux, immenses et profonds. Le bout de ses pattes, qui touchaient le crâne du Vénérable, devinrent du blanc le plus pur.
Après avoir refusé de manger durant sept jours, de tristesse il rejoint son maître. Le lendemain, les cent autres chats du monastère avaient pris la même apparence: robe d’or, gants blancs et yeux saphir. Ils entourèrent alors un jeune moine qui devint le successeur de Mun-Ha.
Il semble qu’un couple de cette race, ou deux femelles dont une portait des bébés, aie été «emprunté» en Asie au début du siècle pour l’amener jusqu’à nous. Je continue à préférer cette version «romantique» plutôt que celle de mariages génétiquement programmés entre un persan ou un angora et un siamois ganté, même si tous les birmans du monde semblent issus de chats français (Madalpour et Kaabaa), les bases de donnée PAWPED remontant à cette «Fondation».
Cependant cette hypothèse du birman originaire d’Asie n’est peut-être pas si rêvée qu’on pourrait le penser. Dans sa thèse de 1926, Philippe Jumaud, Docteur-Vétérinaire issu de la renommée Faculté de Lyon et créateur du premier club félin de France, atteste par des gravures et descriptions précises correspondant parfaitement au standard de la race, la présence de ce chat dans les montagnes isolées de l’ouest de l’Asie.
Il aurait été observé- et rapporté- par le Major britanique Gordon Russel et un explorateur français Auguste Pavie. D’une autre source, ces chats auraient été volés par un serviteur peu scrupuleux du Temple de Lao-Tseu pour être vendus à un millionnaire américain: M. Vanderbuilt, voyageant en extrême-orient.
Ces hypothèses ne se contredisent d’ailleurs pas puisque pour éviter trop de consanguinité des alliances ont été nécessaires tant au début du sciècle qu’ après guerre alors que la race tendait à s’éteindre.
chat-sacre-de-birmanie.ch
Le « GRAAL » idéal à poursuivre pour les amoureux de cette race! A commencer peut-être par les archives thaïlandaises…
Les temples de Birmanie
Le nord de la Birmanie est proche des frontières tibétaine et indienne. Des contacts entre moines de différentes écoles étaient plus que probables.
Au Tibet, le sanctuaire de Niéthang (Nyéthang) abrite 21 représentations de Tara, offertes au moine principal au XVIIe siècle.
Tara, ou « Dölma Dolkar »: « Celle qui fait traverser » en tibétain, serait née d’un lotus éclos d’une larme de Chenresig, bouleversé par les souffrances du monde. Elle est extrêmement vénérée au Tibet, apporte sérénité, prospérité et chance, gardienne des traditions protégeant le pays de ses sept yeux.
Nous avons choisi d’appeler notre petit paradis pour birmans:
Chatterie de la Tara blanche de Niéthang
Car nous souhaitons garder l’idée de sérénité qui entoure ces chats.
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